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DOMUS  ET  VITIS
Conseil en investissements immobiliers et viticoles
Actualités


La presse s'est fait largement l'écho des variations récentes des prix de l'immobilier, cependant, il convient d'analyser la situation par segments.
En effet, on ne peut assimiler le marché de l'immobilier à Paris avec celui de l'ensemble des villes de province (et encore moins avec celui des villas
de la Côte d'Azur !).

Paris appartient pour une bonne part à des investisseurs institutionnels, dont une bonne partie internationaux. Leur comportement est bien différent de celui du particulier moyen, propriétaire d'un, deux ou trois appartements. Les investisseurs institutionnels (les fameux "zin-zin"), en fonction de leurs besoins internes en financement, et en fonction de ratios internationaux de placement, peuvent décider, en grand volume d'acheter ou de vendre de l'immobilier à Paris. Ceci rend le marché parisien beaucoup plus fluctuant qu'en province, à la hausse comme à la baisse.
Il en est de même, dans une moindre mesure, à Lyon, Marseille et Strasbourg.

Pour ce qui est de la province (hors donc Lyon, Marseille et Strasbourg), la crise actuelle a eu comme conséquence une baisse des prix (avec les caractéristiques d'une correction), de 7 à 10 %, après tant d'années de hausse. La tendance actuelle semble maintenant à la stabilisation, du moins dans les villes où la correction a déjà été effectuée à la hauteur du déséquilibre antérieur.

On peut considérer que les vendeurs, qui souhaitaient vendre du fait de la croissance des prix, voyant le marché s'essouffler et baisser, retirent leurs biens de la vente et les remettent en location.
Dans ce même temps, les acheteurs, du fait de la crise, sont bien moins nombreux. La durée de mise en vente des biens immobiliers s'est grandement allongée.
Le marché de l'immobilier, régulé par l'offre et la demande, voit donc une baisse du nombre de biens à la vente et une baisse du nombre d'acheteurs. Nous notons cependant un déséquilibre en faveur de l'acheteur, avec en conséquence de bonnes possibilités de négociation.

Quant au taux d'emprunt immobilier, son faible niveau joue également en faveur des investissements actuellement.

Enfin, sur le long terme, le manque global de logements va perdurer encore longtemps. Attention cependant aux inégalités de demande de logement (notamment en locatif) en fonction des villes.




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